Apocalyptica...

Le vent souffle, faisant tourbillonner des nuages de sable, tel de minuscule tornades et vague qui s'écrase violemment contre mon corps.

*Où suis-je ? Que fais-je donc dans ce désert ? ...Qui suis-je ?*

Tourmenter par le vent, je m'interroge...
De vagues flash m'arrive, comme de très loin. Une musique, une taverne...des flash de peur, de crainte et de conflit, puis...plus rien.
Je suis là, debout entourer de désert a perte de vue alors que le soleil commence a baisser vers l'horizon et qu'une vague de froid me frappe.
La nuit risque d'être froide...très froide. Je dois trouver un abris. Mais où ?
Regard attentivement autour de moi, je finis par percevoir ce qui ressemble a des bâtiments, a une ville, là bas, au loin.

N'ayant d'autre choix, n'y d'autres idées, je me met donc en route vers ce lieux, espérant y trouver de la chaleur, a manger et des réponses.

Mais, plus j'avance alors même que le ciel revêt les couleurs du crépuscule, je constate avec regret que la ville de la qu'elle je m'approche n'est en fait que ruine et désolation...
Quoi qui ce soit passer ici, cette ville n'y a pas réchapper.

Envahie par une grande mélancolie et épuiser par l'incompréhension, je poursuis mon chemin. Me disant que j'ai plus de chance de survivre a la nuit qui s'annonce dans ces ruines qu'au milieux de....nul part...

HRP : Tout le monde peux participez, que vous faisiez partie de l'Alliance ou pas. Un Rps de 3 lignes pleines, minimum, reste exiger. Je ne peux vous en dire beaucoup sur le monde ou les possibilités, puisque j'ai définis moi-même peu de choses, histoire de laisser les possibilités ouverte
Je peux déjà vous dire ce que vous savez
C'est un monde qui a subit une catastrophe encore inconnue...
Il y a sûrement des survivants...vous ?
Mais, moi-même ignore encore s'il reste quelques chose debout ou si tout n'est plus que ruine et cendre...peu être y a t'il quelque chose qui ce fait reconstruire quelque part ??
Voila, voila.
Je demande simplement aux participants, de ne pas trop bouleverser le monde qui seras déjà mis en place par les Rps des autres a leurs arrivez. Peux être ais-ce un monde avec des être douer de grands pouvoir magique et une guerre des Mages aurais tout dévaster...Peux être un monde comme le notre ou une guerre nucléaire a tout dévaster ? ... Peux être un monde plus futuriste ? Plus ancien ? Ça pourrais même être une prison ou sont envoyer des prisonniers après effacement de leurs mémoires....Ou je "sais pas quoi" encore.
Cependant ! T'en que les choses ne sont pas encore connue, évitez de bouleverser de façon majeur le monde.
C'est a dire, en trouvant une bombe nucléaire soudainement, en faisant vous même preuve de pouvoir stupéfiant comme ça...etc.
C'est le genre de Rps qui demandent beaucoup de tac, de patience et de contrôle.
Vous devez découvrir (et nous faire découvrir) ce Monde au travers de votre personnage...Non pas arriver avec l'idée de le définir.

Bonne "chance"

(P.S : Je sais que ça risque de "foirer" ici, pour diverses raisons que je n'énumérais point. Mais, comme de toute façon, je viens de lancer ce Rp sur mon JDR, ca me coûtais pas bien cher en temps et énergie faire un copier/coller ici
Maintenant...ont verras bien )

Rajouts suite a un "incident" :

Il y a une grande liberté (m'enfin, surtout au début, puisque bien des choses sont encore indéterminé ) d'actions et pour faire bouger le monde...Mais, tentez de vous "limité" a l'entourage immédiat de votre/vos persos. S'il y a un "truc de Mj" a faire, je m'en chargerais

Question : Et au faite ... ont peux changer de personnage dans chaque Rp ? genre au début je suis un vaillant officier, et après je deviens loup... ai je le droit ?

Réponse : Pas vraiment, tu peux avoir plus d'un perso, tu peux faire bouger des PNJ pour les besoins de ta situation (ex : ton officier que tu a fait bouger), mais ne peux pas faire un poste de MJ, donc constituer que de PNJ (ou "perso de passage", si tu préfère ).
M'enfin, ici tu peux pas du moins, si tu veux jouer au Mj, suffis de partir ton Rp

la douleur me réveil de mon inconscience...
une douleur intense me vrille la jambe gauche,
j'ai du mal a ouvrire les paupières...
je porte ma main a mon visage avec difficulté ...ouf se n'ai que du sang coagulé que j' haute avec quelque mal !!!
ma tête me lance douloureusement a l'ouverture de mes yeux que je referme aussi sec ... quelque minutes passe le temps que ma vision s'adapte a l'obscurité ambiente
j'ai un éclat de verre de sécurité 1cm épaisseur qui me traverse le molet !!!
a cette vue je me vomie dessus ... je me ressaisie allez ne surtout pas paniqué !! topo des lieux :
je voie quelque une des personne avec lesquel je bossais toute inconsciente ou morte probablement ...
je suis dans un laboratoire scientifique militaire sous terre la moitié du labo c'est affaissez sur lui même..
haaaaaaaa !!! se putain de mal de crâne se calme ...
je déchire un pan de ma blouse pour m'en faire un garot au dessous du genoux.
je hurle de douleur
je tire sur se qui est fiché dans ma jambe .... et une intense monté d'adrénaline me fait m'évanouire de nouveau .....

De fines goutellettes tombant du plafond perlent sur mon front.
Je me reveille petit à petit, avec un mal de crâne énorme...
J'essaie de retrouver mes esprits...
ça y est je me souviens...
l aile ouest du labo a explosé, provocant un glissement de terrain énorme sur le reste du laboratoire...

Je regarde autour de moi, voyant les corps de mes collegues sans vie. Ils ont eu moins de chance que moi, qui n'aie reçu qu'une pierre sur la tête.
Un éboulis énorme de terre mêlé à des cailloux bouche la seule sortie possible, débouchant sur le reste du laboratoire.

Je me mets à creuser avec mes mains, faute d'outils, pour essayer de créer un passage.

Au bout de quelques heures, un espace se forme, assez grand pour que je m'y faufile.

Je me mets en quête de survivants, s'il y en a.
Après de longues heures à marcher dans le laboratoire, j'aperçois une personne ayant un garot à la jambe. Il doit donc y avoir au moins un survivant.
Peut-être ce garçon, sait-on jamais.

Je m'approche de lui, lui tâte le poul. Il est en vie.

"Je fus envoyé en reconnaisance avec mes soldats dans ce laboratoire, notre mission périlleuse fus de récupérer le plus de survivants possible."

Nous déscendons avec nos arnais, qui sont accorchés a notre hélicoptere.
Plus que quelques metres...
C'est bon nous sommes tous sur le toit, partie Est de ce qu'il reste de ce laboratoire.

Je défonce la porte de secours avec force et détermination.
Un endroit lugubre, des décombres partouts...
J'allume la lampe a Xenon attachée a mon arme, CLICK... Voila ont y voit plus clair d'un coup.

Nous passons dans une piece, la porte n'est plus la, des pierres sont tombées, les tables sont saccagées, les équipement des laborantins totalement détruits...

Nous dégageont un énorme pierre, un homme était en dessous, il est mort sur le coup, l'un de mes soldats équeuré vomit...

Que de morts dans ces décombres, plus aucune trace de vie, l'endroit est stéril.

Nous continuons notre périple dans la salle MG-48...

Deux, hommes, oui deux, l'un d'eux sembles très mal en points, l'autre nous dit qu'il n'y a pas de survivants, deux de mes soldats transportent le premier vers un lieu plus en sécurité que cet endroit sur le point de s'éffondrer, l'autre veux avec obstination venir avec nous, il n'a pas l'air d'avoir subit beaucoup de blessure...

Alors que la noirceur de la nuit, a peine percer par le reflet des étoiles et de la lune, s'abat sur le paysage désertique qui m'entoure, je parviens, finalement, a atteindre les ruines désirer.
L'endroit sent encore le brûler et l'odeur de la mort empeste chaque recoin.
Finalement, je me dis que ce n'est guère une bonne idée de passer la nuit dans pareille endroit, je préfère le froid du désert.

Mais, alors que cette pensée s'incruste dans mon esprit et que je réfléchi a la marche a suivre, une lueur aveuglante apparaît a l'extrémité Ouest des ruines.
Théoriser, je me cache rapidement dans un amas de décombres fumant, observant attentivement cette aveuglante lumière qui semble ce d'ériger vers moi.

Un engin....il s'agit d'un immense...un Alchrak. Pourquoi ce nom me revient il a l'esprit ? serais-ce le nom de ce...de cette...chose ?...
Quoi qu'il en soit, je suis comme hypnotiser devant la grandeur de cette construction volante. Un genre de dôme, comme un disque volant.
L'étrange engin, comme sortie tout droit de mes cauchemar fantasmagorique, s'approche de ma position et la survole lentement, sans un bruit.
Soudain, un faisceau lumineux en part et commence a balayer scrupuleusement les ruines autour de moi.

Quoi que soit cette chose, cette...Alchrak ? "Ça" me cherche.
Une part de moi pense a sortir et a me découvrir...il s'agit peu être d'amis ?
Mais, comme un vague souvenir d'une mémoire perdue, quelque chose me pousse a fuir et a surtout ne pas me faire voire.
L'Alchrak, ce grand bâtiment long de plus de 70 mètres et haut de près d'une vingtaine de mètres s'éloigne doucement et passe les ruines au "peigne fin" dans le but de me trouver.

Combien de temps suis-je rester ainsi cacher, immobile, sur le "qui-vive" ?
Je ne saurais dire....
Après ce qui me parais une éternité, je finis par sombrer dans le sommeil, troublé par quelque horrible rêve cauchemardesque...

Hrp : juste pour faire sur que personne attend après moi inutilement... "Ça" ne fonctionne pas joueur-Mj-joueur-Mj-joueur, etc. Ayant lancer l'Idée, je me garde le poste de Mj..Mais en arrière fond seulement. je vais intervenir en Rp ou hrp (en Mp) au besoin. Soit pour vous rappeler a l'ordre, demander de modifier certains détailles pour mieux ce conformer a mon Idée de Base. Intervenir en Rp si j'ai une idée de quelque chose a faire, soit par plaisir personnel ou pour faire avancer l'Histoire elle-même.
Ce que je tente de dire c'est que, de façon général les joueurs sont autonome et, plus particulièrement dans votre situation, c'est a vous même de continuer a bouger.
Car, bon..tout le monde est mort sauf vous..alors, a part tous vous tuez (ou tenter) dans l'écroulement du labo...ou autre trucs plus ou moins catastrophique qui ne m'intéresse pas pour l'heure (pas envie de tuer personne dès le début ) je n'est rien a faire en t'en que MJ.
En fait, pour éviter que Khorne ne fasse tout seul, ça devrais être Necrolord ou Fullmetalconqueror qui devrais poster le prochain Rp. Dailleur, la tache est aisé pour l'heure, pratiquement tout les éléments sont en place...
En même temps, Necrolord est pus très actif ces temps-ci...et ça fait un bon moment que j'ai pas vue Fullmetalconqueror sur notre forum...c'est peu être que ça

Quoi qu'il en soit, je voulais, tenter, de m'assurer qu'on attendais pas inutilement après moi

Un soleil noir... Des pluies de sang... Hurlements de douleur et de panique... Un ciel ravagé par les flammes...

Terreur.

Puis une voix, grave, posée, apaisante. Elle me dit que ce n'est pas réel. Que j'ai de la chance d'être en vie. Que je vais me remettre.

Néant.

Mes yeux s'ouvrent, et la lumière pourtant faible du soleil couchant filtrant au travers des barreaux m'arrache des larmes de douleur. Combien de temps suis-je resté inconscient ? Qui était cet homme qui me parlait dans mon sommeil, si toutefois il n'est pas le produit de mon délire ? Que s'est-il passé ici ? D'ailleurs, quel est ce "ici" ?
Et, plus important, qui suis-je ?

Trop de questions, mon crâne soudain me lance atrocement. Je crois que je hurle de douleur, mais je n'entends rien. Ma vision se trouble. Puis la douleur s'évanouit, tout aussi brutalement. Je suis écroulé au sol, mes mains serrant mes tempes.
Mes seuls souvenirs sont ces maudits cauchemars, et cette voix.

Mes esprits se font un peu plus clairs. Je m'aperçois que je souffre de plusieurs blessures, qui semblent avoir été soignées. La voix n'était donc pas imaginaire. Mais où mon sauveur peut-il bien être ? Je me lève pour explorer les environs.
La pièce dans laquelle je me trouve est minuscule, délimitée par des murs gris percés d'une fenêtre a épais barreaux. Un frisson parcourt mon échine. Ce lieu me rend mal à l'aise, et pourtant il semble terriblement familier...
D'un pas hésitant, je sors par ce qui reste de l'épaisse porte, et découvre un long couloir. Un dernier coup d'œil dans la pièce que je quitte, pour m'assurer qu'elle ne contient rien d'utilisable, et je me dirige au hasard du coté gauche dans le couloir.

A mesure que j'avance, mon malaise s'agrandit. Toutes les pièces devant lesquelles je passe sont identiques a celle que je viens de quitter, a la différence près qu'elles sont toutes occupées par un cadavre. Toutes sans exception. Et ces cadavres portent tous exactement les mêmes vêtements gris que moi...

Chaque corp inerte me fesait de grande atrocité des coup de poignard, peu importe se qui se produisait je ne pouvais que concevoir une chose la douleur qui devenait plus forte et qui me fesait rugire sans même que j'en entende le son. Les puissances maléfiques qui m'entourait était trop puissante, les robes de mauvais présage fesait voir une mort dans chaque pièce que je passait. Dans chacune la petite fenêtre fesait voir des ombrages noirs et barbares. Des bruits de pas me fesait voir que je n'étais pas le seul ainsi que les cris qui survenait de loin m'aidait à comprendre que j'étais dans un endroit empli d'atrocité. Chaque robe possèdait un signe, quand j'aboutis dans une pièce je reconnu le signe qui était dessiné à l'aide de sang sur la tunique que redressait un cadavre féminin, mais de qu'elle signe s'agissait-il. Vu mon impuissance je ne pût le deviné et avec les pertes de mémoire qui m'avait totalement anéanti je ne pouvais même pas prononcé un seul mot mis à part des hurlement de douleur qui sortait sans même que je ressente la moindre chose. Quand je mis le pied finalement dans une pièce plus grande avec de plus belles fenêtres et une porte qui était éclairé par une lumière flamboyante. Je décida de me diriger vers le portail, des pierres fracassé fesait croire que le cadrage était inactif depuis des millénaires, mais selon mon intuision je devais tout de même entré, rien ne m'empêcherai de détruire ma curiosité avant d'avoir été mettre mon nez dans cette audacieuse pièce. Aucun bruit ne se fesait plus entendre lorsque je fût dans la pièce, seulement une lumière incandescente qui m'aveuglait. Quand j'entendit une parole je me retourna et je vut une ombre qui m'assoma d'un plein coup de roche du seuil de la porte.

Plusieur heures après, mon réveil me tira des cauchemars annéantissant de mon sommeil, je me trouvait toujours dans la même pièce et un homme s'approcha de moi...

Vous faites peur a pondre des trucs comme ça

Je continue d'arpenter les couloirs silencieux. Partout, toujours les mêmes cellules et leur morbide contenu.
Mon absence totale de souvenirs occupe tout mon esprit. Est-elle due à ce qui s'est passé et a tué tous ces gens ? Etais-je déjà amnésique en arrivant ici ? Suis-je arrivé avant la catastrophe, où m'a-t-on amené ? L'origine de ce carnage ne me préoccupe que peu. Mais quand je sortirai, on m'expliquera certainement cela. Enfin, si je trouve quelque chose de vivant dans le coin. Rien ne me dit que ce qui a tué tout le monde ici n'a pas fait plus de dégâts ailleurs...

Une des cellules attire mon attention. La porte est entrouverte, et le cadavre qu'elle contient ne porte pas les mêmes vêtements que tout les autres. C'est un homme en blouse blanche. De son dos semble sortir une étrange proéminence. Intrigué, j'entre, et inspecte l'objet de ma curiosité. Un petit morceau de métal semble sortir du dos de cet homme. Je tente de l'extraire, mais il est tellement enfoncé que la prise est trop faible. Et puis, l'expression de terreur figée sur le visage du cadavre me déconcentre, elle attire trop mon regard. Je commence a enfoncer mes doigts dans la plaie, j'écarte la chair, tire sur l'objet en tournant...

A force d'efforts méthodiques, le morceau de métal se dégage enfin. Lorsque je l'empoigne enfin d'une main ferme, mon visage s'éclaire d'un large sourire. Il s'agit d'un superbe poignard, qui était enfoncé dans cet homme jusqu'au pommeau. Voila qui peut être utile. Je pourrais être amené a devoir me défendre... Délaissant le cadavre, réduit en charpie par mon exploration de son dos, je me lance avec entrain dans le couloir en faisant des moulinets avec mon nouveau jouet.
La faim commence a me tirailler de manière insupportable. Je me sens faible. Je déteste cette impression. Je ne finirai pas comme ces cadavres qui jonchent le sol. Si j'ai survécu a la catastrophe, ce n'est pas pour mourir de faim !
La révélation me vient alors. Il y a a manger. Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ? Après tout, il sera impossible de donner une sépulture décente a tout le monde, et il fait suffisamment frais pour que toute cette viande qui jonche le sol des cellules soit encore comestible... Je m'agenouille auprès du cadavre le plus proche, sors mon poignard, et ris a gorge déployée. Je ne mourrai pas de faim aujourd'hui...

tu fais peur quand meme maeander...

bon c est parti :


Qui sont ces soldats ? Je n'en sais rien... Mais je dois continuer dans le laboratoire...
Il faut que je retrouve le terrible secret enfermé au fin fond de de fichu labo avant ces soldats...

Les soldats refusent de me donner une arme.

Un soldat , semblant diriger les operations , m'autorise à continuer l'exploration avec eux. Il nous ordonne de nous séparer afin d'aller plus vite. Nous resterons en contact grâce à un talkie-walkie. L'équipe de secours se divise donc en plusieurs groupes de deux.

Mon coéquipier et moi nous enfonçons dans un petit coridor de pierre. Sans reflechir , je prends une grosse pierre et l'abats sur la tête du soldat , ramasse son arme et part en courant.

Il faut que je le retrouve , il faut que je le retrouve...

... je reste en contacte avec ce laborantin un peu maccabre ... puis plus rien ... le contact revient:
-désolé, surement un probleme de réseau ...
-sa va ?! tout va bien de votre coté ?!
-oui oui ! aucun probleme ...
okay, ont reste en contact et dans 20 minutes rendez vous sur le toit!

Je continue mon périple accompagné de 2 de mes hommes et trouve des dixenes de cadavres jonchans sur le sol, ensanglantés, l'un a un trou dans le dos, completement mutilé ! Quel horreur, l'un de mes soldats vomi sur le sol.

Puis a nous trouvons un homme, oui, un homme, vivant autour de tous ces cadavres, mangeant ... ses semblables !

Mon repas terminé, j'entreprends de stocker un certain nombre de cadavres encore consommables dans la cellule du poignard. Pendant que je m'affairais a cette tâche, il m'a semblé entendre a plusieurs reprises des cris étouffés, des bruits de fracture et autres sons plus ou moins identifiables. Je reprends mon exploration, pour tenter de découvrir l'origine de ces sons. Manifestement, il y a d'autres survivants.
Tandis que j'erre dans les couloirs obscurs, qui me font de plus en plus penser a un souterrain, je m'interroge sur la raison qui fait qu'il y ait a la fois des détenus dans des cellules capitonnées, et des laborantins en blouse blanche. La thèse de l'hôpital psychiatrique, la première a m'être venue, ne tient pas. J'ai vérifié les badges des Blouses Blanches, ce sont des chercheurs, pas des médecins. Mais quel rapport avec une prison ? Quelle peut bien être la fonction de cet endroit ? Comment y suis-je arrivé ? Pourquoi ai-je survécu ? Que s'est-il passé ? Combien de temps ai-je passé ici ? La longueur de ma barbe et de mes cheveux m'indique que ce pourrait être des années...

Je passe devant une énième cellule, quand quelque chose me frappe enfin. L'impression de souterrain est justifiée. La lumière que l'on voit dans chaque cellule, et qui semble être celle du soleil couchant n'a rien de naturel. Cela fait des heures que je marche, et la lumière n'a pas changé, cette lumière ne peut être naturelle.
Sauf si je suis a un pôle. Bon, j'ai raisonné trop vite. Je m'approche d'une fenêtre d'une cellule. Une rapide inspection confirme mes soupçons, ce n'est pas une fenêtre. Cette lumière est purement artificielle. Donc les Blouses Blanches voulaient que les gens enfermés ici pensent être dans une prison normale... Ce qui semble indiquer que ce qui se passe ici n'a rien de légal, ou d'officiel...

Je ne suis plus dans le quartier des cellules. Je viens à peine de me rendre compte que le décor a changé. Je suis entouré d'appareils qui me sont inconnus. Sur certains, sont attachés des cadavres de détenus, des étranges bras branchés sur leur tête, ou d'autres endroits du corps. Un faible râle parvient a mes oreilles. Un de ces types vit encore. Je regarde autour de moi, et finis par repérer un homme en blouse, bloqué sous le cadavre d'un détenu obèse. Ses lèvres bougent lentement. Je m'approche pour entendre :

"...échoué... déjà ici... Personne ... ne ... savoir. Pardon. ...les ordres... ...empêchez... détenus... Non... non... soleil noir... Non... NON ! NOOOOOOONNN !"

Puis il expire dans un dernier râle, une expression de terreur figée sur le visage.
Il a parlé d'un soleil noir... Intéressant, dans mon délire, je voyais un tel astre... Coïncidence ? Comment savoir...
Soudain, une voix retentit derrière moi.

"Retrouve-les."

Sans m'en rendre compte, j'ai lancé mon poignard vers la voix avec une rapidité qui m'a moi m'a moi même surpris. La lame s'est profondément enfoncée dans le plâtre du mur. J'ai probablement une certaine maîtrise des armes... Mais plus que mes aptitudes et mon amnésie, ce qui retient toute mon attention, c'est cette voix... C'est la voix qui me parlait pendant mon coma. Ainsi je ne l'avais pas inventée... Et pourtant, je suis sûr d'avoir visé juste et personne ne pouvait éviter un tel lancer, il ne devait donc y avoir personne là d'où provenait cette voix...

Je ne me sens pas en sécurité ici. Je retourne en courant à ma cellule - garde-manger.

Retrouve les...







De retour dans ma cellule, je reste un moment a réfléchir a ce qui se passe ici.
Mais je ne dispose pas d'assez d'éléments, je ne peux pas avancer. Je ne peux que me contenter de survire, et de continuer a explorer pour pouvoir espérer trouver une issue.
Je décide qu'un peu de sommeil ne peut pas me faire de mal. Je découpe un morceau de la cuisse d'une jeune chercheuse. "Docteur Mathilde Perlson", indique le badge encore agrafé sur sa blouse. En me nourrissant de sa chair, dont elle n'a plus l'utilité, je me demande quelle a été sa vie. Si elle a vu sa mort venir. Son rôle dans cet étrange laboratoire. A-t-elle des enfants ?
Je regarde autour de moi. Chacun de ces cadavres dont le sang tapisse le sol de cette cellule a une histoire, probablement de la famille. Qu'est ce qui a bien pu y mettre un terme ?

"qui êtes-vous", murmure-je aux corps sans vie.
Voila que je parle aux morts. La solitude commence probablement a me peser... Après tout, la voix entendue dans mon sommeil en est peut-être un autre effet. Il me parle de plus en plus souvent, quand je reste dans cette cellule. Pourtant, je ne vois personne. C'est étrange, d'ailleurs, je ne me souviens jamais du contenu de la conversation quand elle est terminée...

Des bruits de pas troublent ma méditation. Quelqu'un vient. Trois personnes, au vu du son. Pour avoir l'air plus présentable, j'essuie le sang de mon visage les restes de mon dernier repas. Je ne peux malheureusement rien faire pour le sang coagulé qui colle mes cheveux...

Les auteurs des pas sont là. Des soldats. Ils semblent choqués, probablement par mon repas. Ils ne peuvent comprendre. Il s'agissait de survie. L'un d'eux vomit. Je me lève, et m'avance vers celui qui semble les diriger...

Je me réveille, où suis-je ?

Une grande pièce toute blanche aux mur lise. Quel étrange endroit.
La lumière aveuglante et crue me fait mal aux yeux.

Des voix...d'où viennent telles ?
Ha, là, une genre de grande vitre avec des forme sombre derrière.
Le contraste de lumière m'empêche de voire.

J'ai donc été capturer dans mon sommeil, finalement ?

Je saisit des brides de conversations. Il discutent de moi, je crois.
Mais, qu'es donc qu'une Alnorta ?
Pourquoi me désigne t'ils sous ce nom ?
Et puis, pourquoi m'avoir enfermer ici.

Je remarque alors une petite marque sur mon bras. Ils m'ont pris du sang.
Mais pourquoi ??
Des gens vêtue de combinaison étrange entre alors par une porte qui apparais soudainement dans l'un des murs.

- Mais que me voulez vous ? Qui est vous ?! dis-je en protestant alors qu'il me traîne de force.

Ne pouvant résister je me laisse conduire le long de couloir blanc, d'une pureté fatigante. Rien ne ce distingue du reste, ont croirait un mauvais rêve où ont ne peux rien distinguer d'autre que du blanc partout et partout.

Je suis, finalement, emmener dans une pièce a l'éclairage plus doux, là ce trouve de nombreuses portes, ils ouvrent l'une d'elle, me jete sans ménage dans une petite pièce et referme la porte.

Je me précipite sur celle-ci en hurlant et cognant rageusement des pieds et des poings. Mais rien n'y fait, je suis belle et bien captive ici.

*Super ! Voila ! Je rêvais que de ça moi !!! Me retrouver enfermer par je sais pas qui, je sais pas où et je sais même pas pourquoi !!
Fait chier a la fin !!*

Après quelques minutes a tourné en rond, je me calme doucement et m'assoit dans un coin. Mieux vaux économiser mes forces pour avoir une chance de fuir a la première occasion....

*Une Alnorta...mais, qu'es-ce ? Et pourquoi ces combinaisons....avait ils peur de me toucher ??*

.....

Je m'arrête a une distance respectueuse des soldats, et me contente de les observer.
Celui qui a commencé a vomir ne semble pas pouvoir s'arrêter... C'est maintenant du sang qui s'écoule de sa bouche sans discontinuer. Les deux autres ne savent pas quoi faire. Celui qui semble commander suggère que l'autre ramène le malade a la surface. L'autre ne veut pas laisser son chef seul. Celui ci lui dit que ça ira, et lui ordonne de partir avec le soldat, maintenant tout pâle et pitoyable dans sa grosse combinaison militaire.
Le chef se tourne alors vers moi.

"Suis-moi sans opposer de résistance."

Je ne réponds pas. Je refuse d'être enfermé de nouveau. Maintenant je me souviens. La voix m'avait dit qu'ils viendraient me reprendre. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais je refuse d'être repris. J'ai des bribes de souvenirs, les gens en blouse blanche, leurs machines et leurs tests sur nous... Cela ne recommencera pas.
Le soldat lève alors son arme. Je réagis immédiatement.
Il semble ne pas comprendre ce qu'il s'est passé. Puis, il voit mon poignard, fiché dans le canon de son arme. Ses yeux s'arrondissent de surprise. Le temps qu'il reprenne ses esprits, je suis déjà sur lui, et lui décoche un formidable coup de poing, qu'il pare in extremis. Il tente de me faire une clé pour me contrôler, mais ses gestes me paraissent si lents... Je mords son bras, et envoie un coup de pied vers son genou. Malheureusement, je n'ai pas pris en compte que sa combinaison était dotée d'un exosquelette, et mon coup reste sans effet. Il profite de mon déséquilibre pour me frapper au crane avec son arme.

Je sombre dans l'inconscience.

courage ... courage, oui ce mot !

L'un de mes hommes semble être malade, c'est grave me dit un officier. Je le fait immédiatement remonter a la surface.

Je me retrouve donc seul avec cet homme ... il me regarde, me scrute. Je lève mon arme pour voir si il aura la moindre réaction, et ce dernier me frappe ...

Je suis un peu sonné mais ce n'est pas pour rien que j'ai été nommé capitaine de cette division de marines, je me relève ... rhaaa, je suis pris de vertiges, il m'a mordu, que faire. De toutes mes forces je m'efforce de lui donner des coups de cross avec ma mitraillette.

De nouveau ces vertiges, serai ce a cause de la morsure de cet homme ? Je n'y crois pas ...

EDIT : dsl j'ai rien trouver cas rapport avec votre histoire

Quelqu'un de bizarre est en fasse de moi il me parle s'en s''arrête pas !
Je ne l'entend pas la langue qui parle me parait inconnu..
La long cape noir me faits peur, sa capuche aussi !
Une fois la lumière venu elle m'éblouit !
Je me recouche dans mon bain de sang.
L'homme est parti ! Ou ? Je sais pas !
Je me regarde dans la glace se visage sans expression m'arrête devant la glace !
D'un coup l'eau du robinets se mets a couler !
C'est du sang.. encore chaud.

"Qu'est que l'homme a la capuche noir est aller faire ?"

Je sort..
Dehors un une femme est assise sur un tas de lièvre mort.
Je m'approche, et lui demande !

"Pourquoi" ?

Elle me répond d'en être sur de pas douter !
Son regard est mystérieux !

D'une vois percente elle me dit :

"Regarde"
..





si vous voulez bien être tolerant c'est mon premier !!!

j'aime bien, mais cher ami, il y a une histoire depuis la première page, lis tout et tu comprendra c'est une histoire ou tout les personnages (Mao, Maeander, Full ...) sommes dans un laboratoire et nous créons une histoire au fur et à mesure.

Ton Rp est, effectivement, quelque peu "détonnant"....aussi, je te suggère de faire en sorte que ce ne soit été qu'un cauchemar de ton perso
Là, ca passerais bien

[hrp]Désolé de m'incruster...
Soyez, indulgents svp, c'est mon premier rp *mode EMU activé*[/hrp]

Les cris résonnent encore dans ma tête. Tant de morts, il me semble que la planète est morte elle-même. Pourtant, elle est encore vivante, des soldats passent sans arrêt devant le placard où je me suis réfugié.

La faim me tiraille, le sommeil tente de m'emporter, mais il ne faut pas que je cède. Je dois rester caché. Ils ne doivent pas me reprendre, je n'ai pas envie de revivre les événements horribles qui ont suivi ma capture. Un seul mot me revient : Pourquoi ? Pourquoi nous a-t-on choisis nous ? Je ne me souviens de rien qui soit antérieur à mon enlèvement. Je ne vois que les images horribles de ce qui l'a suivi. Non, le cauchemar doit s'arrêter là. Qu'ils reprennent les autres, ils ne me reprendront pas moi. S'ils me trouvent, ce sera quand je serai mort. Et ça risque de ne pas tarder, au vu de la durée depuis laquelle... Au fait, cela fait combien de temps ? Dans ce placard, où la lumière filtre à peine par un minuscule inserstice, la notion de temps se perd. Et pourtant, dans ce tout petit réduit il y a mille manières de mourir. Je peux boucher ce petit trou, et je mourrai car l'air ne se renouvellera pas. Ou alors j'attends et je meurs de soif. Ou encore je peux attaquer un de ces soldats qui passent et me battre jusqu'à la mort...

Mais pas tout de suite. Car j'espère encore vivre. La vie s'accroche encore à moi dans un gémissement, comme si elle pouvait encore triompher... Maudits soient ceux qui m'ont capturé, quels qu'ils soient. Sans eux, je serais dehors, et libre. Je mourrais peut-être, mais pas dans ce laboratoire.

Je dois chasser ces pensées. Elle m'accablent plus qu'autre chose. Je dois faire quelque chose, pour les chasser.

J'entreprends de me retourner sans bruit pour voir sur quoi je m'appuie depuis tout à l'heure. C'est un cadavre...

Je dors...et, dans mon sommeil, un étrange rêve prend forme. Une Ange me parle....

Je ne comprend pas tout, tout est trop flous...je ne perçoit pas de paroles, mais plus comme des sensations, des Notion qu'Elle tente de me communiqué.

Une Guerre, une terrible Guerre entre les Humains et les Alnorta...voila ce qui a détruit ce monde avant si florissant ?

Une Guerre déclencher par le quel des deux camps ? Pourquoi ?

Que sont les Alnorta ? Pourquoi les Humains nous craignent ? En suis-je une ?

Pour toute réponse a toutes ces interrogations qui s'éveille dans mon esprit, l'Ange m'envoie une vague apaisante et une phrase nait a mon Esprit.

"Tu comprendras tout en temps voulue.....je reviendrais..."


(hrp, on. P.S : N'oubliez pas de vous fier aux postes des autres pour comprendre ce qui ce passe vraiment....Au miens, particulièrement MJ powaa Surtout que, j'ai, de plus en plus, une vision plus claire du Monde...vision qui est nait, aussi, de l'interraction avec vos propre Rp..Merci de poursuivre
Oubliez pas aussi de faire évoluer vos histoire perso et de les mettre en harmonie avec le Monde...)

[hrp]Personellement je poursuis, pas de souci pour moi [/hrp]

Je suis sur le point de défaillir. Je vais tomber, et sans doute ameuter les soldats. Je dois me ressaisir. Je me retiens aux parois du placard, et ce contact me rassure. Je reprends péniblement mes esprits, et je me force à examiner le cadavre. Dans ses poches, je trouve une partie de ces rations que l'on nous donnait pour ne pas que l'on meure de faim, ainsi que le quart de celle d'eau. Je bois lentement, très lentement une demi-gorgée d'eau, et avale une petite bouchée de la purée infâme dont est composée la ration. Je vais pouvoir tenir quelques jours. Mais à quoi bon ? Puisque je vais mourir, pourquoi prolonger une vie déjà morte de quelques jours horribles ? Je chasse cette pensée sinistre de mon esprit, en me répétant sans cesse qu'il y a encore un espoir même infime de rester en vie sans être repris. Si seulement ces soldats pouvaient partir...

Je me rends subitement compte que je n'ai plus entendu leur passage depuis un moment. J'attends ce qui me semble des heures, et je prends conscience du noir dans lequel je me trouve, de l'engourdissement de mes jambes. J'entends deux éboulements, l'un dans le lointain, un autre très près, si près qu'après tant de quasi-silence le bruit me paraît insoutenable. J'ouvre silencieusement la porte. Rien en vue. L'éboulement s'est produit dans la salle où je me trouve, et a bloqué une des deux issues. Quelques cadavres jonchent le sol, et je les fouille dans l'espoir de trouver de la nourriture, de l'eau. Je trouve peu de choses, mais c'est toujours mieux que rien.

Je me dirige vers l'issue désormais unique, mais des pas approchent. J'ai à peine le temps de retourner dans mon placard maintenant si noir, si petit, si malodorant à cause de l'odeur de la décomposition du cadavre avec qui j'ai "partagé" mon placard. Les pas arrivent dans la salle, stoppent en plein milieu de celle-ci. L'espoir que j'ai retrouvé après ma courte sortie me fait craindre qu'ils ne me découvrent. Mais après un court moment passé dans la pièce, les pas repartent par où ils sont venus. Je ne sais pas qui est cet inconnu, je pense qu'il n'est pas un soldat, mais je n'ai aucun moyen d'être sur.

A présent, j'attends. Mais la peur s'est évanouie. Car je peux maintenant agir. L'impatience me brûle de chercher une sortie. Mais je dois attendre. Cette attente, bien que courte, m'est mille fois plus insupportable que les heures, ou les jours, passés dans ce placard auparavant. J'ai l'impression d'être redevenu un être humain, d'avoir recouvré les forces ôtées par ma détention ici, par les souffrances que j'ai endurées pendant celles-ci. Même mon passé, si lointain, si longtemps oublié, resurgit par flashes. Je sors à nouveau du placard, et en sors le cadavre, au cas où je doive y retourner. Mais cela m'étonnerait. Je sortirai de ce laboratoire-prison, ou je mourrai.

"Retrouve-les"

Encore cette voix... Mais que veut-il a la fin ?

"retrouve les ..." Je réalise enfin que sa phrase ne s'arrête pas là, mais je ne parviens pas à saisir le reste. Etrange...
En plus, des éléments visuels s'ajoutent maintenant a la simple voix.
"Alnorta" Un autre mot que je parviens a saisir maintenant. Et je me souviens désormais qu'il me l'a répété dans toutes ses intervention, alors que c'est la première fois que je parviens a le saisir...




J'émerge peu à peu du brouillard de l'inconscience...
Je suis enfermé dans une des cellules d'un couloir similaire au "mien". Les soldats semblent avoir établi un camp provisoire ici. Ceux qui passent devant moi me jettent un œil de temps en temps. Pas de signe de celui qui m'a eu.

J'ai l'impression que le coup que j'ai reçu sur le crâne a débloqué quelque chose. Des souvenirs me reviennent, trop nombreux et confus pour que je les comprennent, mais ils sont là.

Je touche mon crane là où la crosse a frappé. Mes doigts entrent en contact avec une surface froide et lisse comme du métal Mais que fait du métal sous ma peau ? Au toucher, je tente de déterminer les limites de l'objet. Il est assez petit, et juste enfoncé sous le cuir chevelu. Je plante alors mes ongles, et tire d'un coup sec pour l'ôter.
La douleur me fait vaciller, et je frôle la perte de conscience. A la souffrance s'ajoute un flot d'images trop dense pour que je puisse en tirer la moindre information. Probablement d'autres souvenirs, voire tous mes souvenirs... Mais impossible de les comprendre, tout est trop confus. Heureusement, tout se dissipe rapidement.
Mes geôliers ne se sont aperçus de rien.
L'objet de métal est un petit appareil aux longues tiges qui pénétraient manifestement dans mon cerveau. Il comporte une incription. Le numéro "13.1.5.1.14.4.5.18", suivi de "Inhibiteur de secours. Projet Soleil Noir"

"Soleil Noir"

Cette image a hanté la moitié de mes rêves, et la blouse blanche agonisante dans le labo en avait parlé aussi... Mais en quoi consiste ce projet ? A-t-il un rapport avec la guerre ?
Si c'était le cas, il n'existerait alors que deux possibilités : ce labo est une prison de guerre particulièrement horrible, ou bien moi et tous les détenus étions des cobayes pour la tentative de création d'une arme... Les deux hypothèses étant cohérentes avec mon aptitude manifeste au combat, bien que le soldat que j'ai affronté ait eu de la chance de m'avoir avec sa crosse.


Mais alors, pour mes geôliers, suis-je une arme, ou un ancien combattant ennemi ?

La porte de la cellule s'ouvre soudainement et je suis aveugler par la vive lumière qui me tire brusquement de mon sommeil.

Combien de temps ais-je dormis ? Sommes nous le jour ou la nuit ? Je ne saurais le dire, dans cette environnement où tout est artificielle, contrôler, stériliser. Dans cette endroit ou je ressent un grand manque en mon Être.

Je commence a distinguer 4 ou 5 forme humaines devant moi, trois d'entre elles sont armer et les deux autres, non armée, discutes entres eux.

- Où en est elle ?

- Au tout début de la phase 1, les mutations n'ont pas encore commencer.

- Bien.

Les deux hommes s'approche de moi alors que mes yeux ce sont, enfin, habituer a la lumière, je peux alors constater qu'ils sont tous vêtue de cette étrange combinaison qui recouvre tout leurs corps. Le bruit de leurs respiration, leurs voie retransmise artificiellement, leurs visage masquer derrière une genre de vitre teinter....J'ai un mouvement de recul, prenant peur a leurs approche. L'un deux ce penche doucement et ce met en position accroupis pour ce mettre a ma hauteur.

- N'ai pas peur...je vais tout t'expliquer. Me dit il d'une voie rassurante.

Quelque peu rassurer, mais encore méfiante je me détend doucement et les regarde le regard brillant de mille questions.

- Pourquoi me gardez vous ici ? Pourquoi avez vous peur de moi ? Qu'ai-je fait de mal ? Que me voulez vous ? C'est quoi un/e Alnorta ? En suis-je une ? C'est pas bien ? Pourquoi ces étrange vêtements ? P...

Je me fait interrompt par un petit signe du doigt de l'homme qui ma parler.

- Je voie que tu en sait beaucoup. Alors, tu doit comprendre que tu est, probablement, contaminer par un dangereux virus mortel et nous appelons les contaminer, des Alnorta.

A ces mot mon coeur palpite....Suis-je contaminer alors ?! Condamner ?...
Lisant la peur dans mes yeux, l'homme enchaine rapidement.

- Mais, dans ton cas, il est, peu être, pas trop tard pour te sauver...Mais il te faudra être très coopérative et te prêter a de nombreux examens. Sur ces mots, l'homme ce lève et semble vouloir repartir.

- Attendez ! Vous devez m'en dire plus !! dis-je soudain, lâchant ma demande dans un crie.

Surpris les hommes s'arrête et ce retourne vers moi, ce regarde et ce font un signe de tête, puis la même personne ce rapproche et recommence a me parler.

- Le virus a commencer a infecter de plus en plus de personnes partout dans le monde et commençât alors une lute acharner contre lui. Lute qui détruisit en bonne partie notre Monde...Ceux qui atteint le stade final de la maladie subissent de nombreuses et horrible modification génétique, physique et mental puis devienne des fous furieux assoiffer de sang. La Guerre contre eux et la maladie a couter beaucoup a l'Humanité. Mais, nous l'avons emporter..........ou presque...
Voila, maintenant, repose toi, les test commencerons bientôt...

La porte ce referme, me laissant seule dans ma sombre cellule a médité sur le triste destin qui vient de ce révéler a moi.