Rythenil

Toi qui ma sourit en ce jours radieux,
Toi qui déversât l'Amour et la joie en mon Coeur.

Ô toi que j'ai Aimer,
Amour d'automne, Amour perdue,
Amour sans fin, Amour sans chances.

Mon Coeur ce languis de toi,
Mon souffle ce fait court,
la Nostalgie envahie chaque respiration
et les pas du désespoirs ce font entendre.

Toi qui a conquit mon coeur,
Ô, pourrais-je me pardonner un jour,
d'avoir gâcher autant de notre précieux temps,
de ne pas avoir sue profité tout du long de ta présence....

Je suis folle, car je suis tomber amoureuse,
malgré que cela signât ma perdition.

Ô Dieux ! Vous qui riez dans les Étoiles,
laissez couler en moi un peu de cette sève
cette Joie, ce rire Divins.

Car la vie est bien fade dans la noirceur de la Nuit
et les démons du regrets me guettent et me tourmente.

Ô, Rythenil, Ô Déesse de mon Coeur.
Toi que j'ai Perdue
toi que je Pleure
Toi que j'aimerais tellement retrouver

Mon Coeur c'est dessécher loin de toi,
je n'ai plus de l'armes,
plus de gout,
plus de vue,
plus de joie

Pourrais-je, un jour, de nouveaux Aimer ?
Ô, lumière de mes nuits,
tu me manque..toi qui a éclairer mes pas...

Ô, ce temps bénie qui est passer,
trop vite, tel un murmure d'été...

Je t'ai Aimer et t'Aime encore,
même si mon Coeur Meurtrie ne sais plus le Dire,
même si mes yeux sont sec d'avoir trop pleurer,

Ô oui, je suis devenue une Statut de pierre,
car sans toi, je suis Perdue.

Le Mots sont fade et ne me suffise pas
j'enrage de ne savoir crier mon Amour
j'enrage de ne pouvoir hurler mon désespoir.

Ô Déesse de mon Coeur,
Toi qui ma Envouté,
toi que je Pleure encore...

Pardonne moi, Pardonne moi...
Pardonne moi d'être moi, d'être conne
de m'avoir exiler moi-même,
d'être partie,
de n'avoir sue Vivre au-delà du temps

Ô, Pardonnez moi !
Ô Dieux !...

Ô, Amour, les mots sont fades,
les mots sont vides.
A tu Crue les miens ?
Ais-je sue Voire les tiens ?

Mon Amour fut il partager ?
Le saurais-je de mon vivant ?

(Ne se rendent-ils pas compte que dès le moment ou on les croisent,
Ils deviennent bien plus que du virtuel,
Que de l'illusion,
Ils deviennent alors quelqun,
Quelque chose,
A qui,
A quoi,
On s'attache tellement,
Au point de pleurer leur départ...)

Je trouve ton poème d'une sincérité surprenante ca se voit que tu étais inspirée quand tu l'as écrit, j'espère en voir d'autres comme celui-ci et je sais que je ne serais pas deçu.